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BIENVENUE

chez moi, entre Rêves et réalité...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

J’aime écrire des histoires « érotiques-romantiques »,

des romans, des nouvelles fantastiques, et de la poésie.

Je me passionne pour les relations humaines.

J'aime décrire l'érotisme de manière poétique, esthétique,

dans une vision d'épanouissement des êtres...

Je vis en Suisse avec mon compagnon Kris Winter,

entourée d'amis, d'enfants et d'animaux,

Vous me trouvez sur Facebook

Mon lieu d'écriture interactive :  Atramenta

Mes e-books et livres : BOD,  /  Amazon 

Mes clips sur YouTube

 

 

 

 

 

  PRESENTATION

JUNE SUMMER a sa propre vision de l'érotisme et assume ses choix !

Elle ne surfe que sur sa propre vague, et c'est tout à son honneur !

Certains s'attendent à être excités par une nouvelle érotique,

j'aime aussi les jouissances plus spirituelles, voilà pourquoi j'apprécie

cette auteure, car sa douceur me touche,

et sa plume sensuelle est fraîche ;

Le plaisir de la lire perdure bien plus...

Car les sensations sont moins ! "

 ( Blodeuwedd critique Amazon  )

BIO June Summer sur YOUSCRIBE

June Summer vous connaissez ? Si ce n’est pas le cas et que vous aimez bien lire

un petit roman érotique, alors vous ratez vraiment quelque chose.

Femme d’une cinquantaine d’années, elle fait partie depuis quelque temps

des grands auteurs de romans pour adultes en France.

Alors,, prêts pour en savoir un peu plus sur elle,

et surtout pour découvrir ses livres ?

 

 

femme sexy auteure érotique June Summer

MES LIVRES ET E-BOOKS
Cliquer sur l'image ci-dessous  pour être dirigé sur le lien d'achat d'un livre sur BOD.
Cliquer  ici pour commander un livre papier dédicacé avec son marque-page :
 Cliquer ici pour découvrir mon livre consacré à la sexualité féminine :
 LES MAINS DE VELOURS
Cliquer ici pour découvrir mon dernier  livre :
RETOUR AU CAP !

les couvertures des livres érotiques

 

 

 

 

 

 

CLIP VIDEO JUNE SUMMER

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un clip pour 20 titres, tout un programme d'histoires

érotiques, poétiques, fantastiques et jouissives... 

Bonne découverte !

 June Summer

CLIP JUNE YouTube

 

 

 

photo auteure sexy clip June Summer
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MES COMMENTAIRES PREFERES...

- " Toutes mes félicitations pour cette nouvelle aventure qu'est le site. Il est très joliment

   fait. Vos textes sont toujours délicieux. Merci pour cette belle plume qui est la vôtre." 

   TL (22.09.14)

 

- " Un petit site fort agréable et qui permet de découvrir ton univers, June. Bravo. Par 

    contre, je te conseillerai d'alléger un peu la page d'accueil, mais ce n'est que mon   4

    avis...     Amicalement."  E. (22.09.14)

 

- " LIVRE DU MOIS : LES CHAUSSURES ROUGES DE JUNE SUMMER !

    Le rouge que je vise cette fois est plus celui de la passion ! "  Blog ANNAH

 

- " Ton site est superbe !! je viens de m'y promener , le visuel de la mise en page ; a gagné

    en  sensibilité et élégance ! j'adore !"   I.N.

 

- " Je confirme : chaleureux et très réussi ce site ...!"  M.H

 

- " En Suisse Romande, une romance romantique et érotique... à lire, assurément !"

     Erik Torrent :  Blog Erik Torrent

 

- " Une auteure Helvète, parce que l'érotisme n'a pas de frontière.  Elle écrit  

   remarquablement bien, et parfois, elle nous entraîne dans un univers un peu surréaliste.

Personnellement, j'ai adoré "Les chaussures rouges"    Site LAMANT

 

- " Nous avons découvert cet ouvrage de June Summer et nous la remercions chaleureusement »

Jean Zaga  Site "Esprits Libres" 

On oublie le rire quand on parle de sensualité… L'érotisme est souvent dépeint de manière théâtrale, en noir-blanc, en termes crus ou poétiques, sérieux.

Moi j'aime le rire quand il est subtil et chaleureux, comme une touche de lumière dans la palette de nos sensations érotiques...

 

Le rire est le propre de l’homme, surtout de la femme, liberté pas sage,
Le rire est en amour le comble du bonheur, corps et esprit en partage.
Le rire est fragile, trop rare, peut dépérir en cas de mauvais voisinage,
Le rire est en danger, il faut le protéger, sans lui, nous somme en cage.

 

La vie est faite d’ombres et de lumière, de jour et de nuit, de yin et de yang.

J’aime écrire entre ces deux pôles, entre ce que l’on voit et ce que l’on devine :

Entre les formes et le fond, les actions et les émotions la réalité et les images.

Pour moi, la vie imaginaire est aussi importante que celle qui se vit en voisine.

Nos rêves nocturnes sont émis d’un monde invisible qui envoie des messages.

Si la nuit je me crois un papillon, n’en suis-je pas le jour son rêve qui chemine ?

Suis-je celle qui écrit les aventures de celle qui les vit, ou suis-je son fantasme ?

L’écriture ne serait-elle pas le vecteur entre deux mondes, entre deux héroïnes ?

L’érotisme est un jeu entre ces deux-là, alimenté par le mystère et l’adrénaline.

Plaisirs et Désirs jouent à cache-cache, à l’ombre des tabous, à frôler la ligne.

Une magnifique sortie à ski aujourd'hui fut un délice. Beaux paysages et ski sur une neige poudreuse, sous un soleil radieux... Le ski me donne des élans sensuels, la beauté de la nature m'inspire, je me suis mise à rêver... Tout cela m'a rappelé l'écriture de « Rencontres Clandestines », dont le début se passe dans une station de ski... Une romance à redécouvrir. Extrait :

 

« Le téléski ne se débloquait pas, la file de skieurs grandissait ; le temps passait, les ombres s’allongeraient sur la neige, l’air était crispé de froid. Julie était très inquiète. Elle s’exclama :

 

— Vraiment, il faut faire quelque chose, je vais geler sur place ! Je crois qu’il n’y a pas d’autre piste pour rentrer ? On ne peut qu’attendre, mais c’est inquiétant tout de même !

 

L’inconnu lui répondit :

 

— Écoutez, je connais un raccourci à travers la forêt, y a quelques rochers, c’est raide et pas damé… Si vous êtes bonne skieuse, venez avec moi, on sera au village en trente minutes !

 

Elle le regarda dans les yeux, le coup du raccourci elle connaissait… Il avait l’air fiable, attirant, elle le regretterait quand elle serait une grand-mère si elle disait non… Elle répondit :

 

— D’accord, je vous suis. Mais je ne suis pas championne dans la poudreuse ! On y va 

 

— On y va.

 

Ils échangèrent un sourire, déjà complices de la connivence déjà naissante entre eux. Ils s’élancèrent de concert dans un élan de liberté, heureux d’échapper à cette attente absurde, et de jouir de la vitesse de la course.

 

Le début fut facile, encore damée ; l’homme skiait avec aisance, avec un style vigoureux et rapide, semblant connaître parfaitement les lieux. Julie suivait admirant le paysage et l’homme, ou plutôt l’homme et le paysage… Les cristaux de neige étincelaient c’était magique. Puis ils se lancèrent dans le fameux raccourci. Plus ils s’éloignaient de la piste balisée, plus ils sortaient de la réalité… La neige devint profonde, il fallait sauter pour tourner, l’effort devenait intense mais la sensation indescriptible. Ils se perdaient parmi des sentiers déjà utilisés par des skieurs ou des animaux, tournaient autour de sapins enneigés, évitant troncs et rochers.

 

Le souffle manquait pour se parler, ils s’arrêtaient par moments, haletant et souriant de concert, ou se parlaient par mots brefs pour des consignes de prudence. Ils se mirent à se tutoyer, « Attention là ! Rocher ! Tourne par-là plus sûr ! » Ils développaient un lien bizarre de connivence alors qu’ils ne se connaissaient pas dix minutes auparavant.

 

Julie était attirée par cet homme, elle aimait sa façon d’être et son regard qui la scrutait, comme si elle était belle. Elle se sentait épanouir comme jamais, tous ses sens en éveil, heureuse de ce moment hors du temps, et cessa de se soucier de toute réalité. Qu’importe le reste de sa famille ils attendraient. Qu’importe son retard. Elle voulait vivre ce moment avec toute l’intensité possible… Elle ne lui dit pas son prénom et savait pas le sien, qu’importe ! Ils étaient si bien. Qu’importe leur vie, leurs couples, leurs responsabilités, ils voulaient déguster cette rencontre imprévue et magique sans arrière-pensée. Ils ne faisaient rien de mal, ils vivaient fort et vrai.

 

Son compagnon éprouvait le sentiment d’être en osmose avec la nature comme jamais, il sentait cette femme derrière lui, cela le rendait heureux. Il aimait apercevoir l’étincelle qui animait ses yeux, heureuse comme lui de cet instant si spécial… Il l’observait avec désir, avec l’envie de toucher cette peau douce, d’embrasser cette bouche charnue, de découvrir ses seins, son ventre, et le reste. Elle était si attirante, il bandait à nouveau.

 

Il skiait en état d’érection ce qui n’était pas facile, et riait en lui-même de cette situation insolite.

Un drôle de titre pour une drôle de réflexion… celle-ci s’inspire d’une anecdote réellement vécue par la sœur d’une de mes lectrices, que je vous raconterai en fin de ce texte.

 

Au début de ma vie d’auteure érotique, je pensais écrire des livres érotiques simplement pour mon plaisir et celui de mes lecteurs-trices, afin de les emmener au fil de mes pages dans mon univers magique, sensuel et mystérieux. Les retours étaient positifs, j’étais enthousiaste. J’adore ce jeu d’auteure érotique sous pseudo, comme un cache-cache entre rêves et réalités. Je m’amuse, je joue, je partage, je danse avec la vie…

 

Puis j’ai reçu quelques commentaires qui ont modifié cette vision simpliste de mon travail : procurer du plaisir par des histoires érotiques, dans un climat sensuellement troublant, agréablement transgressif.

 

Écrire érotique, ce n’est pas anodin, cela ne peut se dire à tout le monde, il faut oser, et assumer. Ce n’est pas facile, le monde est resté un peu, même beaucoup, réticent, à parler plaisirs, désirs, épanouissement de soi par la liberté sexuelle. Cela dérange, cela fait peur, on me lit en numérique, en cachette… Il n’est pas encore acquis de nos jours, de vivre ses envies sexuelles naturellement, sans jugement extérieur.

 

Les premiers commentaires qui m’ont alertée, furent suscités par mon premier livre : « Les Interdits de Claire », dans lequel une femme sage découvre sa sensualité par des rencontres inédites avec des amants de passage. Les commentaires de lecteurs masculins étaient charmés, excités, curieux de découvrir l’auteure d’une histoire aussi enivrante. Quelques lectrices m’ont raconté leur trouble, leurs désirs naissants de vivre elles aussi des rencontres aussi intenses, loin de la routine de leur vie de couple, leur envie de tout envoyer balader, de quitter ce mari endormi dans la routine conjugale, pour vivre d’aventures et d’orgasmes. Hoho, attention les filles ! ai-je pensé. Certes, ces femmes sont adultes et capables de gérer la distance entre fiction et réalité, mais tout de même, j’ai senti quelque chose qui m’a alertée…

 

                Les paroles s’envolent, les écrits restent.

 

L’écrivain n’est pas responsable de ce que fera son-sa lecteur-trice après la découverte de ses textes, mais tout de même, le livre est un vecteur de pensée libre qui est parfois contagieux…

 

L’érotisme représente la liberté ultime, celle de la pensée associée à celle du corps, ce qui explique peut-être les réticences de notre société à l’accepter vraiment. Peut-être pas forcément à tort, lisez- la suite…

 

Par la suite, une de mes connaissances a lu aussi « Les Interdits de Claire » ; cela a entraîné une profonde crise intérieure chez cette femme mariée de longue date ; après avoir dévoré ce livre, elle se décida à écrire à un ancien amant, avec qui une passion torride avait été partagée. S’ensuivit un dialogue intense entre ces deux personnes, qui pour l’instant en sont restées là, sans renouer sexuellement, mais dans une atmosphère de renouveau amoureux. Oh, attention les filles ! ai-je à nouveau pensé…

 

Enfin, une autre lectrice m’a raconté l’anecdote dont je vous parlais en début de texte, vécue par sa sœur que j’appellerai Nina.

 

Nina avait terminé la lecture d’un des extraits de « Délicieuses Surprises, Double Saint-Valentin ». C’était un livre prêté par sa sœur, qui connaît une auteure érotique du nom de June Summer, tiens comme c’est amusant. Nina dévore cette nouvelle, elle adore cette ambiance de séduction mutuelle, ces rires et délires, ces jeux amoureux au sein d’un couple complice et très coquin. Cela lui donne des envies, lui fait rêver d’être courtisée à nouveau, désirée, et de retrouver ces frissons de plaisirs qu’elle partageait avec son mari au début de leur relation. Elle imagine parvenir à raviver la flamme éteinte de leur mariage, de leur entente sexuelle disparue aux oubliettes dans la course familiale entre métro-boulot-dodo. On est justement le 14 février, c’est la Saint-Valentin. Son mari est commercial, il passera la journée à croiser des rappels de cette date, il reviendra sûrement avec un petit cadeau… Alors Nina se fait belle, elle met du parfum, une belle robe, elle se maquille, elle imagine un jeu amoureux comme dans le livre. Elle case les gosses chez les grands-parents, elle prépare un petit souper fin. Tout est prêt, on se croirait dans un de mes livres, quand l’héroïne se prépare à vivre une nuit torride…

 

Mais quand Martin rentre en fin de journée, c’est la Grande Désillusion. Il est fatigué, il n’a pas ramené de cadeau car il n’y a pas pensé, il déclare ne pas avoir faim, et se plante devant son ordinateur pour la soirée. Nina est déçue, elle s’en va pleurer dans la salle de bain en retirant sa belle robe, en se demandant si elle veut vraiment cette vie-là… Demain, ils se disputeront, après-demain, ils se diront des mots terribles, des mots qu’on devrait censurer au lieu de censurer les mots sexy.

 

Et moi, June Summer auteure de livres érotiques qui évoquent la vie sensuelle de couples libres et amoureux, j’ai très mal dormi en me demandant si finalement, écrire de l’érotique, ne serait pas un peu dangereux pour la paix des ménages, et des familles… ?

 

Alors je me prends à rêver à une autre façon de vivre cette lecture… Si seulement Nina avait pu lire mon livre avec son mari, le soir au creux de leur lit, et page après page, savourer chaque détail en se caressant tendrement. Puis ils se seraient décidés à vivre l’une des histoires lues ensemble, en se faisant une surprise mutuelle. Un autre soir, elle lui aurait préparé quelque chose dans le noir, avec des bougies aux couleurs chatoyantes, des tissus soyeux, des liens, des cordes et de la musique douce… Une autre nuit, il lui aurait réservé une chambre à l’hôtel dans une « Love room », pour la caresser et la faire jouir jusqu’au matin. Ils se seraient donné du bonheur, de la joie, des plaisirs, et auraient renforcé leur couple par la liesse de l’amour.

 

En conclusion, il est certain que chacun choisit ses lectures, ses rêves, ses fantasmes, ses désirs, sa manière de relier ses rêves à la réalité, et comment il communique tout cela avec son-sa partenaire. L’auteur-e n’a pas de prise dans la vie de ses lecteurs, qui sont adultes et vaccinés, ni de responsabilité directe sur les événements vécus par ceux-ci.

 

Mais tout de même, je commence sérieusement à me demander si finalement, la littérature érotique ne serait pas dangereuse… 

Dans tous mes livres, l'ambiance qui enrobe les scènes érotiques est essentielle. Elle déclenche, amplifie et contribue à l'intensité des émotions et des plaisirs partagés. Elle n'est pas forcément esthétique, mais elle doit bien se choisir selon ce que l'on recherche :

Par exemple, si une scène torride débute de manière spontanée et clandestine au fond d'une arrière-cour ou sous un porche au cœur de la nuit, elle se révèle très excitante...  De même, la fréquentation d'une boîte de nuit dans laquelle se trouve une succession de spectacles sexy dans une atmosphère débridée, contribuera à accroître une excitation mutuelle pour des ébats sans tabous.

Si on apprécie les ambiances BDSM, la décoration genre donjon du Marquis, avec des clairs-obscurs, quelques objets impressionnants, aura un effet certain... Personnellement, la photo ci-dessus me fait un effet certain…

Faire l'amour dans la nature de jour, ou sous les étoiles, est aussi un plaisir qui décuple les plaisirs.

L'excitation d'être surpris peut accroître les sensations ! (Mais prudence, la Loi n'autorise pas tout en extérieur...)

En revanche, si on prépare une atmosphère romantique, agrémentée de lumières douces, d'un fond musical harmonieux, de tentures et de couvertures douces jetées sur des canapés obscurs, cela accentuera les abandons, les élans, les partages très sensuels...

Le fond musical, les parfums ou senteurs diffusées, ne sont pas à négliger... Si nous sollicitons tous nos sens, les ressentis en seront décuplés.

Voici deux exemples issus de mon livre « Les Interdits de Claire » :

 

« Elle avança. Et se retrouva dans un environnement évoquant une tente bédouine : éclairés par des lampes rouge orangé, des tapis jetés par terre étaient jonchés de coussins, un narguilé était posé dans un coin et une odeur douceâtre flottait dans l’air. Claire remarqua deux liens de cuir qui pendaient du plafond, juste à la hauteur de ses yeux. Elle hésita, regarda autour d’elle. Elle sentait une présence derrière elle, mais, se retournant, elle ne vit rien. »

 

« À un moment donné, il l’invita à le suivre et ils passèrent dans la salle suivante. C’était une vaste pièce silencieuse aux murs décorés de tapisseries, meublée seulement de quelques chaises, sur le sol de laquelle était posé un grand tapis de haute laine, et où régnait une douce chaleur due au feu qui crépitait dans une grande cheminée, tandis que, disposées à intervalles réguliers, des armures en pied, munies de lances et d’épées, semblaient monter la garde. »

 

Voici un autre extrait issu de mon livre « 5 Défis pour un Mariage »

 

« Elle prit l’ascenseur et pressa la touche du deuxième étage, en sortit pour se retrouver face à une porte entrebâillée. Elle repéra le nom de l’inconnu à côté de la porte, « Raphaël Maillet », ce qui la rassura aussi. Elle entra et referma derrière elle, retenant son souffle. L’endroit était sombre, éclairé de quelques bougies apportant une ambiance sensuelle aux meubles design sombres et luisants. C’était un large espace ouvert, avec de grandes baies vitrées par lesquelles on pouvait apercevoir les lumières lointaines de la ville clignotant dans la nuit. Un feu crépitait doucement dans l’âtre près des canapés en cuir noir, tandis que la mélodie d’un opéra s’enroulait doucement dans les airs. Mya sourit avec plaisir ; cet endroit lui plut, esthétique et précieux, à l’instar des messages de son inconnu.

La jeune femme retira ses bottes et son manteau, les laissant sur le sol près de la porte, sans trouver de penderie. Elle chaussa ses talons et se dirigea vers le salon, son téléphone et l’écharpe en main. Ses pas résonnaient sur le parquet brillant. Elle frémit, imaginant son amant dissimulé dans une pièce voisine, les entendant avec excitation… Elle choisit de s’asseoir dans un canapé placé contre le mur, pour admirer cet appartement exceptionnellement beau, appréciant la musique et le crépitement des flammes. Elle se dit que l’aventure valait la peine d’être vécue quoi qu’il arrive ensuite, tant cet endroit était admirable et la situation exceptionnelle !

Son portable vibra, le message qu’elle reçut la fit sourire. Où donc se cachait l’inconnu qui l’accueillait ? Elle lut :

« Quand tu es prête, mets ton bandeau et attends. J’arrive ».

Mya admira une dernière fois cet endroit magnifique, puis se cacha les yeux avec la longue écharpe de soie. Elle avait la lettre exigée en main, et attendit sans bouger. Était-elle observée ? Impossible à savoir… Elle devait donner une image singulière, d’une femme en bas et talons, vêtue d’une jupe courte et d’un petit top dévoilant la naissance de ses seins, assise ainsi sans rien savoir de ce qui l’attendait. Elle décida de jouer son rôle de rebelle à dresser, bâillant ostensiblement et se plaignant à mi-voix :

— C’est long par ici…

Puis elle se coucha nonchalamment sur le canapé, cachant son sourire derrière son enveloppe. Elle allongea ses jambes pour les rendre le plus sexy possible, ses escarpins élégamment croisés sur le côté, et attendit… »

​​MLXL« Les jambes des femmes sont des compas

qui arpentent le globe terrestre

en tous sens, lui donnant son

équilibre et son harmonie. »

François Truffaut.

 

« Sébastien se rappela cette citation célèbre lue dans son adolescence, qui l’avait déjà impressionné confusément à cette époque. Il ressentait ces mots comme une évidence inscrite en lui depuis toujours. Il lui semblait que dans son enfance, puis son adolescence, il était déjà fasciné par la démarche des femmes dans la rue, d’autant plus si elles étaient perchées sur des talons. Il se remit au travail tout en pensant encore à ces chaussures rouges qui semblaient concentrer tout ce qui l’attirait chez la Femme : gaieté, assurance, mystère, féminité, sensualité, grâce naturelle. Il pensa que toute la personnalité de cette inconnue était résumée dans son allure si légère, et qu’il aurait pu la reconnaître entre mille… »

  

Quand les vagues se calment et que le ressac

Berce leur cœur de petits mouvements lents…

Lents mouvements qui doucement les bercent

Les yeux dans les yeux son sexe en elle vient…

 

Et va, va et vient,

Lentement

Fortement, vient

Et va, va et vient…

 

Chaleur qui monte, plénitude parfaite de l’instant

Bonheur du corps, expansion des sens, pourtant

Tout est si calme, si lent, profond, petit supplice

À chaque retour ils montent sur la grande ellipse…

 

Qui tourne

Et retourne

Va et vient

Lentement…

 

Moment suspendu, perfection des sensations

Intensité inoubliable et abyssale des émotions

Échange des regards, électricité des passions

Et son sexe qui voyage et crée des palpitations… »

 

23. LE SECOND CERVEAU

L'écriture de mon livre « Les Mains de Velours » se poursuit intensément; les idées se pressent au fur et à mesure que j'avance L'intérêt d'écrire régulièrement et de se mettre un délai pour terminer une histoire, c'est que le cerveau travaille la nuit, et fournit des idées le lendemain pour la suite de l'histoire.

Je me suis réveillée ce matin avec un sourire, imaginant mon masseur tantrique saisi par l'attirance amoureuse, alors qu'il venait de refuser les avances de Mathilde, pourtant charmante. Comment cela se passe-t-il, que l'on se sente subitement attiré par quelqu'un, même si, et parfois d'autant plus, si consciemment on ne le prévoyait pas du tout ?

Certains nomment le sexe de l'homme (de la femme ?) « Le deuxième cerveau » de manière ironique, comme si celui-ci prenait un peu (beaucoup) souvent l'ascendant sur les décisions prises, parfois de manière peu logique...

Comment cela se gère-t-il ? Comment cela se passe-t-il ?

Je ne donne pas de réponse à cette question bien complexe, mais je m'amuse à décrire ce processus qui capture ses victimes...

N'est-ce pas justement la Vie qui tisse nos rencontres et brouille nos plans prévus par notre intelligence, aux dépens des en-vies et des désirs de notre second cerveau...

« Salva lui, était surpris de voir deux personnes devant sa porte, alors qu’il n’en attendait qu’une seule. Il comprit rapidement que la vieille dame devait être sa cliente, et que l’autre femme l’accompagnait. Il récupéra ses esprits avec un petit battement de quelques secondes, car il avait d’abord remarqué celle-ci ; il avait été saisi par son apparence sensuelle, accentuée par ses longs cheveux roux mouillés par la pluie, sa peau claire perlé de gouttes d’eau, son top de coton plaqué sur ses seins opulents, sa silhouette élancée, avec une taille fine, et des formes généreuses.

« Miam ! » pensa-t-il rapidement, avant de tenter d’évacuer cette pensée inopportune. Son deuxième cerveau situé dans son bas-ventre avait déjà déployé sa vigueur, ce qui risquait de gêner la suite de cette entrevue. Salva toussota, se détourna pour masquer cette érection inopportune, et passant sur le côté, parvint à faire entrer ses invitées dans la pièce sans trop en montrer. Il referma la porte et disposa son membre durci sur le côté pour le rendre plus discret sous le paréo, en lui intimant l’ordre de se faire oublier. Puis il se retourna avec un sourire de bienvenue décontracté :

— Bienvenue ! Je suis surpris, j’attendais une seule personne !

— Oui, c’est moi qui vous ai téléphoné, rit Augusta. Ma jeune amie voulait m’accompagner pour vérifier que je ne risque rien !

Florence lui jeta un regard de reproche, sous le regard amusé du bellâtre qui lui souriait, les mains sur les hanches. Il ressemblait à un dieu païen, ou à un gourou venu d’une île lointaine.

« Très sexy, le gourou » songea Florence, en faisant taire son bas-ventre, qui allumait des petits papillons électriques au creux de ses reins. Elle n’avait pas terminé son histoire avec Xavier, et avait vraiment décidé de ne renouer avec personne jusqu’à son hypothétique guérison. »

24. LES FEMMES JOUISSENT

MOINS QUE LES HOMMES
 

Voici un article très intéressant dans le Femina de cette semaine, décidément dédié à la sexualité, après l'article consacré à June Summer... Non je plaisante, mais enfin, cet article m'a paru très complet, mais un peu... frustrant. Oui, c'est le mot qui convient : FRUSTRANT !

En effet, cet article explique que trop peu de femmes peuvent vivre des orgasmes régulièrement lors de leurs ébats, alors que leurs compagnons de jeux y parviennent plus souvent, avec un pourcentage du simple au double ! Malgré tout ce que l'on sait, tout ce que l'on explique, tout ce qu'écrivent les auteurs-autrices, les articles dans les journaux, etc. encore aujourd'hui, selon cet article, les femmes se satisferaient mieux par elles-mêmes, (comme on fait son lit on se couche, comme on se caresse, on jouit) ou entre elles (on se comprend mieux entre femmes), que dans les corps à corps avec nos amis les bêtes, heu non les hommes !

Oups, je vais recevoir quelques messages courroucés de zhoms qui prennent le temps, qui caressent, qui aiment, qui touchent, qui attendent, qui suscitent, qui désirent, qui emmènent, qui nous font jouir quoi ! Oui, ils existent, j'en connais !

L'article se demande d'où vient ce phénomène. Les zhoms seraient trop égocentriques, trop pressés, trop amateurs de films porno, etc... Et nous les femmes nous serions trop peu exigeantes, conscientes, sûres de nous, sans oser dire, demander, préciser...

Je pense moi, que ce n'est pas le bon questionnement... La solution ne serait-elle pas tout simplement de se parler, de s'écouter, de se parler... ?

La sexualité féminine peut être grandiose, ne se borne pas à un petit clic qui fait clac, mais peut se constituer de feux d'artifices en rafales, de plaisirs en désirs, de désirs en plaisirs... mais elle est un peu secrète, elle est lente au démarrage, elle a des subtilités à découvrir... Il faut du temps, de la curiosité, des explorations...

La sexualité de couple pourrait être un grand jeu, qui fait jouir chacun plus haut, plus fort, plus grand, plus... tout ! mais seulement si on se parle, si on explique, si on demande, si on offre, si on reçoit... si on communique... non ? Quel dommage quand le silence s’installe !

 

C’est l'occasion de profiter de cette date pour vous parler de la Fessée érotique... parfois mal comprise et mal connue, et faussement attribuée aux pervers de tous ordres ou à des pratiques voisines de mauvais traitements, c'est tout simplement un piment érotique extraordinaire, accessible à tous et toutes ! On peut la demander, pour profiter de ses bienfaits, de ses plaisirs entre excitation stimulation érogène, et complicité de couple.

Je viens de recevoir les commentaires bien agréables d'amis : à la suite de la lecture en couple de l'un de mes livres (J'adore quand un couple lit mes histoires ensemble), ils m’ont confié avoir découvert avec grand plaisir les délicieux délices de fessiers sévices... C'est excitant, joueur pour tous les deux, cela stimule les terminaisons nerveuses jusqu'aux régions sexuelles, c'est jouissif, et constitue une très agréable séance apéritive avant de passer au menu... Bref, vive la Fessée érotique !

 

Petit extrait de mon roman « Aventures Libertines, le Cap ! », dans lequel je décris la fessée de manière très précise, ludique, et je l'espère excitante :

 

 (La scène se passe sur la terrasse extérieure d’un appartement situé au Cap d’Agde, dans le secteur naturistes-libertin).

« Mike fit tourner Justine sur elle-même pour la mettre face à la table, la fit se pencher pour qu’elle s’y appuie, puis releva lentement, très lentement sa robe par-dessus ses fesses… Elle sentit le frais de la nuit sur sa peau nue, frissonna aussi à l’idée de ce qui allait se produire… Elle s’appuya sur ses bras repliés, se cambra pour relever son cul afin d’offrir une vue tentatrice à son amant… Elle souriait entre ses mains croisées, anticipant cette fessée qu’elle avait réclamée… Pas de voisins à ménager ici, personne n’alerterait pas la police, et pour cause ! Il fallait s’attendre à ce que Mike s’en donne à cœur joie. Il le fit en effet, commençant par quelques claques décidées, bien nettes, dirigées sur le bombé de la fesse : il variait les effets sonores, cherchant le joli son, celui qui chante franchement à son oreille de mélomane, celui qui fait tressaillir le bas-ventre des deux amants accordés dans un duo d’érotomanes… il s’appliquait à trouver le son magique, celui qui secoue à chaque fois les deux globes charnus de la victime, incendiant ses fesses et électrisant son cul, mettant le feu à sa chatte, allumant le volcan de son désir, de son plaisir qui se répandait à petites gouttes le long de ses jambes écartées, accompagné de gémissements étouffés.

Justine avait posé sa tête sur le côté et s’offrait sans pudeur à la main dominatrice, les fesses en l’air, sursautant à chaque coup, anticipant le suivant qui se faisait parfois attendre, dans la ruse de son amant qui aimait la surprendre. »

À lire dans « Aventures Libertines, le Cap ! », attention pour adultes avertis...

Ce livre reste bien classé dans les ventes, comme quoi, ce qui est savoureux reste apprécié !

Voici un autre extrait de fessée, après, vous ne pourrez plus rester sceptique sur les vertus de cette jolie activité sexuelle !


 

Extrait de « L'Été de Jordane »

 (La scène se passe de nuit, au cœur d’un Jardin extraordinaire, au sein d’un couvent situé dans le sud de la France !)

« Et puis, il y avait un évier de ciment avec son robinet et un plan de travail en pierre, adossé contre cette cabane, qui complétait ce cadre idéal pour un amoureux de la Nature ! Inspirée par son envie très pressante d’être caressée et baisée au plus vite, Jordane trouva que ce cadre était aussi idéal pour des amoureux de leur nature ! L’endroit était très éclairé par la lune, ce qui lui donnait beaucoup de charme mais peu de discrétion. Sans hésitation, elle s’approcha de ce support placé magnifiquement à la bonne hauteur, s’y appuya, puis releva sa robe effrontément pour montrer ses fesses rondes et blanches, fixant Kenan par-dessus son épaule, lui souriant sans peur ni sans tabou, avec une expression de défi et d’impatience.

Cette vision délicieuse et extraordinaire propulsa Kenan dans l’action immédiate : sa main gauche releva encore plus le vêtement, et la droite claqua de manière sonore sur la fesse de sa belle, pour la féliciter de tant d’audace… Ce n’était pas une punition, mais une tape bien dosée pour l’exciter encore plus, ce qui ne manqua pas. Jordane fit un Oh ! De surprise et de ravissement, et tendit ses fesses encore plus haut, haletante, attendant la suite…

Kenan apprécia cette réaction positive, et devenu le maître de cette paire de fesses tendues vers lui, laissa une deuxième fois sa main claquer avec vigueur sur ce beau cul bien galbé, juste sur l’arrondi charnu, afin d’obtenir ainsi ce joli son apprécié des connaisseurs, : un clac ! net et clair, excitant à souhait pour les deux protagonistes de ce duo de choc… La victime présumée fit un second oh ! qui sentait le délice sous de vicieux sévices… Elle se cambra de manière impudique, écartant ses jambes sur la pointe des pieds, montrant à son maître très précisément l’objet de son attention, depuis tant de jours et d’heures… sa fleur humide et rosie d’envies, palpitante de désirs, offerte et accueillante, prête pour lui, pour l’accueillir, pour tous les plaisirs…

Dès ce moment, l’action devint confuse, ou plutôt folle, haletante, irréaliste, psychédélique, érotique, ou mythique ! En tout cas les deux amants se souviendront toujours de cette nuit mémorable, comme issue d’un incroyable fantasme partagé ! Stimulés par cette faim de l’autre qui les tenait depuis trop de nuits, par cette journée à se côtoyer sans pouvoir se toucher, par cette nuit magnifique au clair de lune, et aussi par ce séjour bizarre dans un monastère religieux, Jordane et Kenan perdirent le peu d’inhibitions qui leur restaient, pour vivre leur bulle d’amour dans un abandon complet à leurs pulsions…

Jordane était en feu, elle avait trop envie de sexe avec son mâle pour penser à autre chose qu’à cet instant érotique ! Elle ondula savamment de ses reins pour l’attiser, tournant ses fesses devant lui comme une prière, puis se reculant et se frottant contre son membre durci qu’elle sentait à travers le tissu de son short, pour l’attirer à elle, cambrée à l’extrême, cherchant à recevoir les caresses que sa chatte enfiévrée réclamait avec ardeur. Kenan se libéra rapidement de ce vêtement inutile, et enfin nu, se mit à caresser l’intimité de sa belle de son membre viril tendu comme un arc, allant et venant entre ses cuisses, dans un mouvement doux et subtil qui la faisait gémir de plaisir. Puis ses mains chaudes se joignirent à ce merveilleux massage, et jouèrent des sensations de sa compagne qui avait appuyé sa tête sur ses bras pour mieux se donner, pour mieux jouir. »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et vous

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