Quoi de plus agréable que de profiter enfin de l'été et du soleil, après des pluies interminables ! On savoure le plaisir de vivre nu, ou presque... Quel bonheur de sentir la caresse du vent sur la peau, la chaleur du soleil sur notre corps avide de douceur, avec en prime le murmure des vagues ou le chant des cigales, des oiseaux...
Quel délice de le partager avec son Autre...
L'intensité de renouer avec soi est ineffable, indicible, merveilleuse... De retour des plages de la Méditerranée, j'en profite au maximum avant l'arrivée de l'automne, comme dans une urgence d'emmagasiner des réserves de soleil au creux de mes cellules, au gré des petits lacs des environs propices à la baignade en pleine nature.
Allonger des brasses dans un lac au pied des montagnes, plonger dans une eau fraîche et délicieusement fraîche, puis un retour sensuel en compagnie de son Autre pour concrétiser les désirs naissants... C'est top, non ?
Cela me fait penser à un extrait d'un instant de ce genre, tiré de mon livre "Délicieuses Surprises" que je vous livre ci-dessous.
Je vous souhaite une douce lecture excitante, ainsi qu'un week-end très agréable...
Extrait de l'été de Jordane :
"Ils nagèrent une dernière fois à la nuit tombée, dans une eau délicieusement tiède, enlacés comme seuls les amoureux savent le faire : Jordane accrochée au cou de son amant, leurs lèvres jouant ensemble au rythme des brasses lentes de celui-ci, ses pieds jouant contre le bas-ventre au membre durci.
Revenus sur la berge, tous deux se séchèrent rapidement, puis se décidèrent à rentrer. L’air était plus frais, mais encore bien agréable, la soirée semblait promettre une température idéale. Ils regagnèrent leurs voitures en marchant enlacés, ravis de ce moment si plaisant. Après quelques baisers et caresses, ils repartirent chacun dans son véhicule, pour regagner leur repaire. Jordane avait rangé le maillot de bain dans le sac de plage, et ne portait rien sous la petite robe, soyeuse sur sa peau vivifiée par la baignade. Le trajet fut un délice, son corps était en émoi, dans l’attente éperdue de son alter ego. Ses longs cheveux blondis par le soleil séchèrent au vent chaud tourbillonnant par la fenêtre ouverte, évoquant une délicieuse atmosphère de vacances, de liberté et de sensualité qui la remplissait de joie.
Les deux amoureux roulèrent ainsi l’un derrière l’autre le long des routes sinueuses, parvinrent au chalet à l’abri de l’ombre des arbres, puis se garèrent dans la petite cour pavée l’un à côté de l’autre ; le chien, libéré du coffre de la voiture de Jordane, fila dans le jardin, tandis que nos deux aventuriers sortaient les sacs des véhicules pour les apporter à l’intérieur, se croisant en va-et-vient coquins qui les faisaient pouffer de rire et s’embrasser. Kenan était encore échauffé par les petits jeux de la journée et la vue de cette robe virevoltant au-dessus de fesses qu’il devinait nues, accentuait son désir. Lorsque Jordane posa enfin l’arrosoir dans l’évier, se cambrant un peu pour tourner le robinet, il céda à ses pulsions : il voulait enfin toucher ce cul, cambrer ces reins, et surtout relever cette robe suggestive pour caresser les fesses rondes qui le tentaient depuis trop longtemps."
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Mon Credo : Je pense que la compagnie de livres est indispensable pour nous aider à conserver notre liberté de penser, et surtout de livres érotiques pour conserver notre liberté sexuelle, sensuelle et personnelle !
Lis, lisons, lisez, soyons libres, sensuels, érotiques et uniques !
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