313 Les Messages de la Nuit
- June Summer
- 8 oct. 2024
- 4 min de lecture
Dernière mise à jour : 18 nov. 2024
Je suis très intéressée par le phénomène des connexions invisibles qui nous guident dans nos existences, par le biais des rêves nocturnes que j'appelle "Les Messages de la Nuit".
Ils surviennent de manière prémonitoire ou symbolique, pour nous signifier quelque chose.
Je l'ai souvent vécu et mes héroïnes rencontrent elles aussi ce genre de phénomènes mystérieux et fascinants.
Lorsqu'on traverse certaines phases de vie plutôt chahutées, ces rêves sont plus d'autant plus présents, comme pour nous aider à traverser celles-ci.

Certains messages de la nuit nous parlent
Et nous guident sur le chemin de nos vies.
On les entend mieux lorsque tout est calme,
Au fond de nos rêves ou sous la lune paisible.
Jordane courait de-ci, de-là, se dépêchant comme le lapin d’Alice, entre diverses maisonnées dans lesquelles elle devait accomplir des tâches compliquées et urgentes. Elle avait peur, elle courait comme une folle les cheveux épars en répétant : « En retard, je suis retard ! On m’attend ! Il faut que je me dépêche ! Vite, vite ! On m’attend ! Je suis en retard »
Elle se réveilla brusquement, en sueur, les yeux grands ouverts et le corps tendu comme un arc, puis se détendit : « Ouf, c’était un rêve ! » Soulagée, elle reprit sa respiration, analysant les images imprimées dans sa mémoire : « Décidément, je dois me sentir stressée par tout ce que j’ai à faire ces temps-ci ! ». Elle regarda l’heure à son téléphone posé sur la table de nuit et soupira : « Pfff, trois heures du matin, dingue ! » Énervée, elle rejeta les couvertures de côté et sortit du lit pied nus, et complètement ébouriffée, en sueur sous sa chemise de nuit qu’elle retira et envoya dans un coin. Kenan dormait paisiblement de son côté du lit, alignant les respirations profondes de manière exaspérante...
Ludovico avait mis Justine à genoux, sur la table basse du salon et claquait d’une main de maître ses fesses charnues, sous la nuisette rouge à dentelle noire qu’elle avait choisie pour le tenter. Justine sursautait à chaque coup, sa chatte en feu se contractant et expulsant un jet de cyprine qui trempait ses cuisses. Son ventre se contractait de jouissance, son corps tendu et stressé par la surprise de ce qui allait survenir envoyait mille signaux de peur et de plaisir mélangés à son cerveau surexcité, la jouissance était proche, ils le sentaient tous deux ; debout derrière elle, il l’enfilerait alors en la tenant aux hanches, accrochant ses cheveux d’une poigne virile, prolongeant ses spasmes de plaisir en allers-retours savants, alternant vitesse et angles, afin de susciter un orgasme au maximum de ce qu’elle pourrait supporter, qu’elle hurlerait en cris suraigus en se redressant comme une folle, tandis qu’il jouirait en elle à grands râles gutturaux, le corps trempé de sueur gouttant sur son dos, qu’il étalerait de sa main pour caresser et lubrifier leurs deux sexes fusionnés, pour encore et encore plus d’orgasmes…Puis ils tomberaient sur le lit ou le canapé pour s’endormir d’un coup, épuisés de sensations."
June était assise sur une souche d’arbre, près d’un grand champ d’herbe haute ondulant sous le vent tiède de l’été, environnée de coquelicots d’un rouge éclatant qui tournaient leurs corolles de son côté comme pour lui sourire… Le soleil brillait haut dans le ciel, elle était heureuse, paisible, grignotant des graines de tournesol qu’elle tenait dans la main. Elle était vêtue de sa robe d’été préférée de couleur fuchsia, qui s’accordait bien avec cette scène estivale. Un paillon voletait devant elle, irisé de tons pastel. Un oiseau chantait sur la branche du chêne qui lui donnait de l’ombre, comme pour accompagner la magie de l’instant.
Soudain, June entendit le halètement lointain d’un train à vapeur qui semblait se rapprocher. Étonnée, elle observa le convoi passer sur une voie qui semblait sortie de nulle part, longeant le champ vers un quai désert pourvu d’une citerne d’eau comme dans les westerns de Sergio Leone, et pourvue d’une échelle pour y monter. La locomotive qui tirait plusieurs wagons anciens s’y arrêta, poussant de grands jets de vapeur comme des soupirs monstrueux. Personne ne sortit ; la scène était surréaliste. Curieuse, June se leva et se dirigea vers ce train qui lui rappelait quelque chose, mais quoi donc ?
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Mon Credo : Je pense que la compagnie de livres est indispensable pour nous aider à conserver notre liberté de penser, et surtout de livres érotiques pour conserver notre liberté sexuelle, sensuelle et personnelle ! Lis, lisons, lisez, soyons libres, sensuels, érotiques et uniques !
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